Podcast – Le réveil de l’Inde. Gilles Boquérat

21 octobre 2021

Temps de lecture : < 1 minute

Photo : Calcutta (c) Unsplash

Abonnement Conflits

Podcast – Le réveil de l’Inde. Gilles Boquérat

par

Inde : une puissance méconnue. Pays multiple et complexe, l’Inde échappe parfois à la compréhension des Occidentaux. Son poids économique est désormais conséquent et son nationalisme le conduit à peser dans la région. Entretien avec Gilles Boquérat pour tenter de mieux comprendre les fondements de la puissance indienne.

Gilles Boquérat est chercheur associé à la FRS, auteur de plusieurs ouvrages sur le Pakistan et l’Inde. Émission réalisée par Louis du Breil. Retrouvez ici les ouvrages de Gilles Boquérat.

Retrouvez les autres podcasts de Conflits :

Mots-clefs :

Vous venez de lire un article en accès libre

La Revue Conflits ne vit que par ses lecteurs. Pour nous soutenir, achetez la Revue Conflits en kiosque ou abonnez-vous !
À propos de l’auteur
Revue Conflits

Revue Conflits

Fondée en 2014, Conflits est devenue la principale revue francophone de géopolitique. Elle publie sur tous les supports (magazine, web, podcast, vidéos) et regroupe les auteurs de l'école de géopolitique réaliste et pragmatique.

Voir aussi

Podcast – Écosse, terre de whisky

Le whisky oscille entre terroirs et industries. Jean-Baptiste Noé analyse la stratégie des grands groupes, notamment Diageo et Pernod-Ricard pour faire évoluer le marketing et transmettre le goût du...

La Chine déploie sa marine

En moins de dix jours, la marine chinoise a successivement admis au service actif le 5 novembre le Fujian, son premier véritable porte-avions, et commencé le 14 novembre les essais à la mer du Sichuan, le plus grand porte-hélicoptères/drones au monde. En parallèle, l’APL-M poursuit la construction d’au moins deux porte-avions à propulsion nucléaire. Si la flotte chinoise a dépassé en nombre de coques son opposant de référence, l’US Navy, depuis 2016, elle est toujours en retard en termes de tonnage. C’est la raison pour laquelle elle s’active efficacement à combler ce manque de bâtiments de combat puissants auxquels Henry Kissinger faisait référence quand il disait qu’« un porte-avions, c’est 100 000 tonnes de diplomatie ».